Je ne sais pas pourquoi, Françoise, mais cette photo me donne les bleus. Je la trouve d'une tristesse...
Ne te trompe pas, je ne dis pas que c'est une mauvaise photo, au contraire. Mais regarde, l'horizon qui se perd dans la brume, une jeune femme solitaire, un mur brisé dont le béton s'effrite, un graffiti qui n'en a plus pour longtemps...
Mais c'est la vie.
Et puis cette photo a autre chose : elle nous rapproche de toi. Comment pourrions-nous retourner en France sans passer par chez toi ?
un beau point de vue !
RépondreSupprimerJolie évocation d'une balade sur la plage sans fin ... dans le gris ... J'aime bien cette photo !
RépondreSupprimerBonjour, Françoise.
RépondreSupprimerDes chiens aux crocs à la dame aux chiens...
Et la mer, impavide,Mais la mer...
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
C'est sympa
RépondreSupprimerBonne journée
Une belle etendue!
RépondreSupprimerC'est au Pyla, ou je me goure ?
RépondreSupprimervous vous "gourez"...
RépondreSupprimerJe ne sais pas pourquoi, Françoise, mais cette photo me donne les bleus. Je la trouve d'une tristesse...
RépondreSupprimerNe te trompe pas, je ne dis pas que c'est une mauvaise photo, au contraire. Mais regarde, l'horizon qui se perd dans la brume, une jeune femme solitaire, un mur brisé dont le béton s'effrite, un graffiti qui n'en a plus pour longtemps...
Mais c'est la vie.
Et puis cette photo a autre chose : elle nous rapproche de toi. Comment pourrions-nous retourner en France sans passer par chez toi ?
Roger
Tu as pris cette photo au Beg an dorchen !! celle du billet suivant également non ?
RépondreSupprimerBonne semaine
Sacha